
A nous le Brésil, c’est beaucoup dire car dans les faits c’est extrêmement compliqué les distances étant telles que l’avion est presque indispensable pour se déplacer. Et qui dit avion, dit coût ! Je parlais dans mon dernier post de notre futur voyage vers l’Amazonie, Belem et Manaus. Il ne pourra se faire, le prix en étant bien trop élevé.
Nous décidons donc, dans un premier temps, de nous installer à la belle marina de Jacaré, tenue par Nicolas. Il s’agit de la plus belle marina rencontrée sur notre périple. La salle commune, ouverte, est magnifique, les sanitaires fort propres et agréables et… il y a une piscine.




Les couchers de soleil et les lumières sont tant renommés ici, que, tous les soirs, entre 16h00 et 19h00, des catamarans remplis de touristes brésiliens chantant et dansant, viennent tourner autour de nous et des voiliers à la bouée (vidéo), sur un air du Boléro de Ravel. C’est vrai qu’il m’est difficile de vous les présenter, les photos étant bien en deçà du spectacle offert par la nature.






Nous décidons de sortir Maverick 2 de l’eau pour en préparer l’hivernage. Pour ce faire, les grandes marées sont indispensables. Ce sera le 14 ou… le 14 juin ! Nous sommes prêts. Impressionnant de le voir sortir avec juste un tracteur, mais ça le fait bien. Nous nous installerons ensuite sur Ystafell pour prendre nos marques dans ce nouvel espace. Merci à Cathy et Fanch de nous l’avoir proposé.





Trop bizarre de voir avancer notre Maverick sur des roues !
Le capitaine ayant pas mal de boulot pour laisser au mieux Maverick2 8 mois à terre, je me penche sur notre programme de tourisme à venir, avant notre retour en France début aout.
Les doudous visitent et s’installent eux aussi ! (vidéo)



C’est décidé, notre première virée, pour la Saint Jean très festive dans tout le nord du Brésil, sera Salvador de Bahia, puis Lençois dans la chapada de diamantina.

Salvador de Bahia
Nous voilà partis pour cette destination dont rien que le nom fait rêver ! Et j’ai choisi le bus pour nous y rendre. Moins couteux et plus exotique. Nous voyagerons quand même en couchette, au plus grand plaisir du capitaine ! Ce moyen de locomotion est très développé ici et il est souhaitable de réserver pour retenir les meilleures places.


Départ de Joao Pessoa à 18h00 pour une vingtaine d’heures, pour moins de 1000 km. Plusieurs arrêts sont prévus pour se restaurer. Mais ce qui n’est pas prévu, c’est la panne à 40 km de notre destination. Le chauffeur n’en fera aucune annonce. Heureusement, une jeune fille parlant un peu anglais nous indique qu’il nous faut descendre et trouver par nous même un moyen de rejoindre notre destination. Nous montons dans le premier bus collectif qui passe. Ce sera un omnibus, s’arrêtant à la demande… et nous arriverons non pas au centre historique mais dans un autre quartier en bord de mer. Au secours Uber ! Lui aussi très développé et fort pratique pour un coût là aussi fort modéré.
Nous voilà arrivés dans notre petit appartement cosy, bien protégé du bruit, tenu par Washington, dans le cœur de la ville haute, le quartier historique du Pelourhino.
Le quartier est magnifique et très animé.






Les églises sont nombreuses, plus de 160 disséminées à Salvador. Nous visiterons avec l’aide d’un guide local parlant français, les deux plus belles :
La cathédrale basilique, dont la construction commença en 1657 et dura 18 ans, est l’un des édifices sacrés les plus importants du Brésil colonial, témoignage de l’histoire et du catholicisme du pays. Elle abrite l’archevêque primat du Brésil. Les 30 bustes reliquaires restaurés constituent aujourd’hui, avec les deux autels, les plus importantes collections d’art sacré brésilien de la fin du XVIe siècle.
La Basilique possède également de précieuses collections, avec des peintures de plusieurs auteurs du XVIIe siècle, des meubles en palissandre et divers objets sacrés en or et en argent. L’éclat des 13 autels plaqués or impressionne le visiteur, avec pas moins de 50 000 feuilles d’or, 5 000 feuilles d’argent et beaucoup de travail.






Et nous ne sommes pas les seuls visiteurs… mais quelle est cette bête ????



Nous empruntons ensuite le largo do Pelourhino (pilori), qui fut l’un des lieux où les esclaves étaient exposés et achetés. Après l’interdiction de la traite en 1835, la place fut laissée à l’abandon jusqu’à sa restauration dans les années 1990. Le couvent et l’église de Sao Francisco, dont l’intérieur est presque entièrement recouvert d’or – plus de 100 kilos de métal précieux -. s’ouvrent à nous.






Et son couvent…


Notre guide nous fait entrer dans une boutique. Ce ne sera pas pour acheter mais pour découvrir l’épaisseur des remparts existants…

Déjeuner ensuite dans la cantine des guides. On ne l’aurait pas trouvé tout seul ! Repas local et fort bon.

Que de festivités tous les soirs.




Premier soir : premier concert ! Admirez les préparatifs (vidéo1 ; vidéo2)




Et le spectacle ! vidéo3 ; vidéo4…



Promenade, découvertes et rencontres au fil des rues…






Mais Salvador de Bahia ne se résume pas qu’à ce centre historique. Marins nous sommes, marins nous restons. Nous ne pouvons résister à descendre à la marina grâce à l’Elevador Lacerda d’une hauteur de 72 mètres, à 5ct d’euros le passage. On ne se ruinera pas !
La ville vue du bas…

Et la marina, tenue par un français, un breton, depuis 28 ans. Ils sont partout les français !



Nous profitons de notre passage dans la ville basse pour prendre le bus et rejoindre Notre Dame de Bonfim, l’église des miracles à une dizaine de kilomètres de l’ascenseur. Comme dit un dicton bahianais : « Quiconque est allé à Bahia et n’est pas allé à Bonfim, n’est pas allé à Bahia« .
C’est l’un des lieux de pèlerinage les plus fréquentés du pays. Les fidèles viennent de tout le Brésil prier pour obtenir un travail ou une guérison ou pour remercier le Seigneur de miracles qu’ils lui attribuent. De multiples rubans frappés des mots « L’embraça do Senhor do Bonfim da Bahia » (Souvenir de Notre Seigneur du Bon-Secours) sont vendus. Selon la tradition, un ami doit vous offrir ce porte bonheur et l’attacher à votre poignet en faisant 3 nœuds, chaque nœud symbolisant un souhait ; quand le ruban tombera, tous vos vœux se réaliseront. Nous nous contenterons d’accrocher nos rubans et de formuler nos vœux.



Cette église est par ailleurs un point de vue magnifique sur la baie de Bahia.
Nous quittons l’église pour rejoindre la Ponta de Humaita, ou Ponta de Monte Serrat, la chapelle et le forte du même nom. Fort joli point de vue sur la baie de Tous les Saints.





Après un déjeuner dans l’un des nombreux restaurants-buffet brésiliens, où chacun se sert à l’assiette puis la paie selon son poids, nous revenons vers le Pelourinho pour découvrir le second spectacle de notre séjour, après un coucher de soleil masqué par les nuages…

La préparation se fait toujours au même endroit, au largo do Pelourinho. Aujourd’hui la troupe doit être plus connue, le foule étant bien plus nombreuse. Que les tenues sont belles ! (vidéo1 ; vidéo2 ; video3)





A l’issue du spectacle, direction le restaurant incontournable indiqué par Dominique, le gérant de la Marina. Il s’agit du Bistrot Cuco, sur le Largo de Pelourinho. Absolument délicieux.
Notre dernier jour arrive et nous n’avons visité aucun musée. Qu’à cela ne tienne, direction le musée du carnaval, le seul ouvert en ces temps de covid. Et en plus c’est gratuit !
En voici quelques images…








Et le toit terrasse, avec vue sur la baie : magnifique !




Et voilà, notre séjour est terminé. Direction notre seconde destination, La Chapada de Diamantina et Lençois. Nous repartons en bus de la Rodoviara (la gare) de Salvador de Bahia. Nous sommes le jour de la Saint Jean. Il y a un monde de fou!

Lençois et la Chapada de Diamantina
Après 8 heures de bus, nous voici arrivés à bon port, chez Antoine et Lili, un français arrivé avec ses parents en voilier et tombés amoureux du Brésil. Les parents sont installés à 50 km de là dans une ferme et lui vient de construire sa jolie pousada –la villa ALMM– avec piscine.

Lençois est en fête. La Saint Jean, qui n’a pas été fêtée depuis 2 ans permet à la population de danser et chanter durant 15 jours. Et ils ne s’en privent pas ! Nous entendrons la musique jusqu’au bout de la nuit mais nous nous promenons bien trop tôt pour voir la foule du soir…







Pour la petite histoire, Lençois en portugais se traduit par drap ou lin. Pourquoi ce nom ? Car lorsque les mules chargées de diamants redescendaient des montagnes, elles étaient recouvertes de draps de multiples couleurs, selon leur propriétaire, spectacle très coloré et point final de la descente. D’où le nom de Lençois.
La ville a commencé à se développer dans la 2ème partie du XIXème siècle avec l’extraction des diamants, et est ainsi devenue l’une des villes les plus riches de la région de Bahia. Aujourd’hui encore, les belles demeures présentes en ville témoignent de ce passé. Toutefois, au début du XXème siècle, l’activité liée au diamant a commencé à décliner dans la région, ce qui a eu pour conséquence de diminuer petit à petit l’influence de la ville ainsi que son nombre d’habitants. Vers 1950, l’extraction diamantaire a été complètement arrêtée en raison de l’épuisement définitif des filons, ce qui a entrainé un déclin économique important de Lençóis. Aujourd’hui la ville est le point de chute idéal pour découvrir la Chapada Diamantina et le tourisme s’y est fortement développé.
La Chapada Diamantina
Formée il y a des millions d’années par l’érosion, la Chapada Diamantina se découvre en prenant de la hauteur. Ses 1 500 kilomètres de forêt et de roches aux allures de far west dissimulent un trésor, une richesse naturelle enfouie dans les profondeurs des grottes. Aujourd’hui, leurs beautés attirent des touristes du monde entier, au grand étonnement des habitants de la région. Avant de devenir des piscines naturelles, ces grottes étaient exploitées par des mineurs. En effet, Chapada Diamantina signifie roche de diamant en Portugais. Et derrière cette carte postale, il est difficile d’imaginer l’histoire des lieux. Celle d’une immense mine de diamants exploitée jusqu’en 1996. À l’époque de la ruée vers les diamants, au XIXème siècle, des machines industrielles drainaient le fonds de ces rivières. Et tous les habitants de la région travaillaient dans cette mine. L’extraction de ces pierres précieuses est aujourd’hui interdite, mais quelques garimpeiros fouillent encore le fonds des rivières.
Mais, pour ces 4 jours sur place, nous ne sommes pas venus que pour du tourisme. Nous sommes venus randonner.
Le premier jour nous mène, sur une dizaine de kilomètres, sur les hauteurs de Lençois à la découverte des piscines naturelles formées par les torrents et cascades descendant de la montagne. Comme il a beaucoup plu, les passages à gué ne sont pas toujours évidents à trouver. Et comme nous l’a précisé Antoine, les brésiliens n’ont absolument pas la culture à se déplacer sans guide. On nous regarde partir seuls avec des yeux ronds. Les chemins ne sont pas balisés. Heureusement le capitaine, comme en bateau, est au taquet sur les applications mobiles. Celle qu’il utilise, outdooractive, nous sera tout particulièrement utile.
L’eau est ferrugineuse et les couleurs sont splendides (vidéo)!




La seconde rando, plus tranquille, pour se réserver pour la grosse journée du lendemain, nous mène vers une grotte gigantesque, l’une des plus grandes du nord du Brésil, est-il précisé.
Le chemin emprunte les anciennes routes empierrées par les esclaves, empruntées par les mules. Voyez ce travail. C’est incroyable.


Nous arrivons sur le plateau mais il est tellement immense et si peu balisé que nous ne nous risquons pas à descendre plus près de la grotte que nous ne ferons qu’entr’apercevoir. Elle parait effectivement gigantesque.

Pour le troisième jour, nous nous lançons sur un parcours beaucoup plus exigeant, beaucoup plus long, qui traverse le massif pour rejoindre l’autre vallée, la Vale do Capao, où nous dormirons. Antoine n’est pas serein à nous voir partir seul, et nous prête une machette pour le cas où le chemin serait trop envahi par la végétation, en ayant vérifié auprès de ses amis guides si le chemin était toujours praticable.
Effectivement, peu de monde doit passer par là. Mais le chemin ne disparait pas totalement. Heureusement, l’application de Jean-Benoit parle et nous stoppe dès que nous ne sommes plus sur le tracé. Ça va nous sauver plus d’une fois.







Trouvez le chemin !







Antoine nous avait demandé de nous méfier des serpents. Nous en verrons 3 dont celui-ci, d’une longueur de 3 à 4 mètres, un caninana, cobra, le plus rapide du Brésil est il dit, pas vénéneux mais très agressif. Vous comprendrez qu’il m’a été difficile de le photographier, d’autant qu’il s’est effectivement dressé devant nous avant de disparaître très vite… On ne fait que le deviner…

Cela ne nous empêche pas de continuer, d’autant qu’il nous reste encore une dizaine de kilomètres à faire. Et nous ne voulons pas trainer, le chemin étant désertique et la nuit tombant très vite…




La nature offre de belles compositions.

Et voilà, rando terminée, 22 kilomètres pour 935 mètres de dénivelé et 6h45 de marche effective. Pour une reprise, c’est une reprise ! Cliquez pour voir le parcours sur l’application. Dur à la fin car 4 kilomètres de piste. Heureux d’arriver à notre Pousada pour une petite bière. Oups : y en a pas et on ne trouvera pas de bar ! On patientera jusqu’au soir.
Nous sommes logés à 1,5 km du village de Vale do Capao, sur les hauteurs et ce ne sera pas le bon plan : nous sommes dimanche soir, à la fin des fêtes de la St Jean. Tous prennent du repos. Nous ne trouverons nul lieu pour nous restaurer. Et nous n’avons pas la force de descendre au village et surtout de remonter. Et ici, pas de taxi. Le gardien de nuit de la pousada réussira à nous commander une pizza, uniquement végétarienne. Avec une bière. C’est mieux que rien !
Le quatrième et dernier jour nous mène vers la cachoera de la Fumaça (cascade de fumée), un petit 14 km avec 500m de dénivelé positif. Une pacotille !
Quel chemin ! C’est magnifique même si le temps n’est pas totalement beau. Après le passage dans les bureaux du parc de la cascade, où ils enregistrent chaque personne montant et redescendant (des randonneurs s’y sont déjà égarés et ont disparu), nous entamons la montée raide (ne pas oublier les bâtons), puis continuons sur un très beau plateau. Le chemin est bien entretenu, la randonnée étant très courue.






Nous voilà arrivés à la cascade. Je ne dirais pas que nous sommes déçus mais…
La spécificité de cette cascade, d’où son nom, c’est qu’elle ne tombe pas mais remonte en fumée. Pourtant c’est la deuxième plus haute cascade du Brésil, avec une hauteur de 380 m. et il est difficile de se pencher sur le gouffre (vidéo1 ; vidéo2)





Nous repartons assez rapidement car il fait frais et brumeux.


Retour dans le bureau du parc où l’une des jeunes volontaires, qui est aussi pompier volontaire, parle un peu français. Car nous avons un vrai souci. Nous devons prendre notre bus pour notre retour à Lençois le soir même à 21h00 au départ de Palmeiras. C’est 20 km de piste. Depuis la veille nous nous torturons. Car si ce bus part sans nous, celui du lendemain matin pour Salvador partira également sans nous… et de même pour celui de Salvador à Joao Pessoa le jour suivant. Tout s’enchaine…
Heureusement, Joana nous mettra en contact avec un franco brésilien, Merlin, qui accepte de nous emmener à Palmeiras pour le même prix que le seul taxi -pas du tout aimable- qui avait accepté, mais qui partait trop tôt pour nous.
En empruntant cette piste, nous comprenons la difficulté. Effectivement elle est bien peu carrossable et peu de monde l’emprunte. Nous n’aurions jamais trouvé de stop. Plus d’une heure de route, à discuter avec Merlin qui tient une agence à Vale do Capo (lien). Nous l’aurions connu avant, nous serions descendus y dormir la veille. C’est çà aussi le voyage : rencontrer les personnes intéressantes trop tard…
Nous arrivons à Palmeiras et attendons 5 heures. Nous avions pris un peu trop de marge. Sieste sur les bans publics et attente car, là aussi, tout est fermé !




Petit quiz.




De drôles et/ou de jolies bêtes vues sur nos chemins (vidéo trop rigolote) !



Nous ne trouvons, pour nous restaurer qu’un restaurant bar, pas top, face à la station de bus. Et quand on commande un couscous, voici ce qui est amené au capitaine. Vous auriez vu sa tête !

Ouf, nos retours en bus se sont bien enchainés. Nous voici de retour pour une quinzaine de jours à Jacaré pour continuer à préparer Maverick à l’hivernage.
Petite promenade à Joao Pessoa et Cabedelo, les deux villes les plus proches.





Et le marché de Cabedelo où nous avons grand plaisir à nous approvisionner.



Grâce au train qui nous coûte 50ct… Bon il est quand même très sommaire, ce train, même un peu flippant quand on y est enfermé !


Trop rigolo à Cabedelo !



Avant le départ pour la France, nous louons une voiture pour visiter Olinda, l’ancienne capitale de l’état du Pernambuc, l’une des villes les plus historiques du Brésil, proche de Récife. Avec ses jolies maisons toutes colorées, la ville a un charme fou. Il est raconté que, lorsque les flottes portugaises arrivèrent en vue des côtes du Brésil, au 16ème siècle, Duarte Coelho se serait écrié « Ohh Linda ! » (Oh joli!). Ils se sont donc installés sur ce lieu et ont construit Olinda.




Nous visitons le magnifique musée du carnaval. On dirait les géants belges !





C’est pas beau de regarder sous les jupes !












A Olinda, plus de 20 églises résistent à l’érosion, certaines difficilement… Avec et sans le soleil (merci Christine !).


L’église de la miséricorde, dont la façade est délabrée, est ouverte le soir, pour les messes réservées aux sœurs. Les ajuleros recouvrant les murs sont splendides.




Retour vers Jacaré en passant par la presqu’ile de Itamaraca. Il pleut beaucoup, mais quelques rayons de soleil nous permettent de profiter des plages de sable blanc (vidéo)…







Nous dégustons nos premières huitres brésiliennes, dans un bar sur la plage.




Pour la petite histoire, vous imaginez-vous sur ces annexes pour rejoindre votre voilier ? Ce sont celles utilisées par les pêcheurs locaux à l’aide d’une grand perche.


Coucher du soleil, entre grain et soleil


Mais que sont ces morceaux flottants et à quoi servent-ils ?


Et le petit train de Saint-Malo revisité !



Direction le sud de la presqu’ile qui fut le théâtre au XVIIe siècle, de luttes entre Portugais et Hollandais pour la prise de son Forte orange, ou Fort de Santa Cruz construit en pisé en 1631, et reconstruit en pierre en 1654, lorsqu’il gagna plusieurs canons. Carte postale de la ville, le patrimoine a passé des années à l’abandon.





Et voilà, dernière ligne droite avant le retour en France en passant par… Rio ! Ce sera le prochain article…
Au fait, la réponse au quiz :




Que sont ces morceaux flottants et à quoi servent-ils ?


Ce sont des pièges à crabes.
Je suis fascinée par tt ça ! Vs m’impressionnez bcp par votre organisation et votre débrouillardise ! Bravo à vs 2 et en lisant les comptes rendus un bravo particulier à la rédactrice ? qui agrémente tt ça de merveilleuses photos
Mais qqchise a dû m’échapper : j’ai lu « Maverick à la vente » !! Ce serait fini de la vavigatiin à ce stade ??
Cc Dominique, merci beaucoup de tous ces compliments mais tu n’as pas lu le précédent article où nous expliquons la suite de. Notre programme. La vente de maverick ne sera qu une étape dans notre voyage. Pas question de s’arrêter en si bons chemins ! En attendant descente vers le grand sud cet automne ! Big bizzzz
Quel beau recit accompagné de magnifiques photos ainsi qu’une incroyable mise en page de photos et vidéos
Qu’il est d’autant plus agréable de relire ttes vos péripéties
J’ai bien lu que votre bateau est en vte mais j’attends quand mm les nouvelles
aventures
Bonne escapade en France et à bientôt de vs lire
Merci beaucoup. Le prochain sur notre séjour à Rio que j’espère incroyable ! ???