Curaçao, la belle hollandaise !

Curaçao, Kòrsou en papiamento, la langue locale, est la principale île des Territoires néerlandais d’outre-mer, située dans la mer des Antilles, près du Venezuela. Elle fait partie du groupe d’îles des petites Antilles appelée Îles Sous-le-Vent. L’île est d’une superficie de 444 km² (moins que la principauté d’Andorre) et sa capitale est Willemstad. Cette île colorée et dynamique abrite quelques-unes des plus belles plages des Caraïbes.

L’histoire de Curaçao est un mélange complexe d’influences amérindiennes, espagnoles et néerlandaises, avec une forte influence du commerce et de la traite négrière, et une évolution vers une plus grande autonomie politique. Depuis octobre 2010, Curaçao est désigné comme l’État de Curaçao.

L’État de Curaçao comprend aussi une petite île inhabitée (superficie: 1,7 km²) au sud-est et appelée «Petit Curaçao» ou « Klein Curaçao » en néerlandais, que nous visiterons à plusieurs reprises pour ses eaux sibyllines.

Curaçao fait partie des îles ABC (Aruba, Bonaire et Curaçao), également connues comme les Antilles néerlandaises.


Petit retour en arrière, en novembre 2024…

Nous y arrivons, la première fois, après 22 jours de « robinsonnade » sur les iles désertes de Blanquilla (article blog) et des Aves (article blog). Nous voici donc de retour à la civilisation ! Nous n’étions pas attirés par cette destination mais nos amis de Ohana, Jp et Ness, avec lesquels nous voulions absolument passer notre premier niveau de plongée Padi, y passaient leur saison cyclonique.

Rendez-vous était donc pris, en novembre, pour la découverte de ce sport, totalement inconnu pour moi.

Que dire ?

Curaçao et ses fonds font partie des spots de plongée les plus beaux au monde. Et nous confirmons !

Dès notre arrivée à 8h00 du matin, nous sommes happés par la famille Bernard de El Peligrino et Daniel, notre compère que nous n’avions pas revu depuis la Gambie, pour aller en bus, en ville, faire les formalités, de sortie pour eux et d’entrée pour nous. Elles seront réalisées sans souci et sans recherche des bureaux de notre part puisque guidés par les copains et aidés par notre jeune et talentueuse interprète, Trixie. Mille mercis à eux, car pas facile entre l’immigration, le parc naturel (pour les autorisations de mouillage sur l’ile et à Klein Curacao) et les douanes éloignés les uns des autres. Petite visite rapide de la ville. Nous y reviendrons pour une journée de tourisme !


Après quelques courses, et en concertation avec Jp et Ness, direction Klein Curacao, où il n’est possible de rester que 3 nuits, après autorisation et paiement d’une taxe de 25 dollars auprès du parc naturel. La journée, les catamarans gavés de touristes y viennent pour profiter des lieux. Le soir, il ne reste que nous. Le bonheur ! Et les lumières : extraordinaire !!!


Découverte de l’équipement de plongée puis des premières plongées « piscine ». Pour nous ce sera au « cul du bateau », sur du sable blanc et dans des eaux bleues translucides. Tout ceci sans courant !

Que demander de plus ? juste le paradis !

Nous réalisons donc les 4 plongées « piscine ». S’ensuivent 5 plongées en eaux plus profondes. Et là, idem que pour les plongées précédentes, nous sautons du bateau, car au-delà d’une langue de sable blanc, le « tombant » est tout proche, selon la position de nos bateaux. Et les « tombants » descendent tout de suite au delà de nos 18 mètres réglementaires. Donc très facile de descendre, si on n’a pas peur d’être engloutis par les fonds, et de s’arrêter à nos profondeurs autorisées, en découvrant des coraux splendides et toute sorte de vie sous marine.

Extraordinaire, même si les exercices ne nous permettent pas toujours d’apprécier à la juste mesure ce fabuleux décor sous marin.
Mais il faut quitter ce paradis. Et il nous reste 2 plongées à réaliser. Nous avions anticipé et demander 3 nuits au mouillage de Fuik baai plus calme, juste a côté de Spanish water. Quoique, plus calme, hors le week-end ! Voyez par vous même (vidéo)…

Mais comme à Klein Curacao, dès que nous nous éloignons de quelques mètres de la rive, le tombant est splendide.
Nous aurons passé et réussi notre Padi sur des sites extraordinaires, sites que nous ne retrouverons certainement pas de sitôt. Mille mercis à JP et Ness pour leur professionnalisme, leur passion et leur merveilleuse bonne humeur. Je précise que toutes ces plongées, nous les avons réalisées avec Cécile, la professeur de Esteban, le petit dernier du couple, à poste sur Ohana. Que du bonheur !


Place au tourisme et aux retrouvailles avec nos amis Nathalie et Thierry sur Ornella. Nous ne les accueillons pas comme eux à Union, mais le plaisir de les revoir est tout aussi joyeux et partagé.
Découverte des nombreux magasins -nous n’y étions plus habitués- puis du nord de l’ile. Grâce à la location d’une voiture avec eux, nous pouvons nous rendre au parc national de Shete Boka, avec ses trous d’enfer, ses ponts naturels et la houle qui se fracasse sur les roches. Tout juste magnifique.

Heureusement, pas de croisiéristes. Nous avons le site presque pour nous seuls.

Promenade sur les jolies plages du nord, toutes aménagées, même si le ciel n’est pas des plus beaux. La difficulté : trouver où déjeuner. Nous nous contenterons d’un mauvais snack. Pas grave !

Car ce soir, c’est une grande découverte pour le capitaine : il participe à une plongée de nuit pour découvrir les ostracodes, phénomène qui n’existe de par le monde qu’ici à Curaçao, Bonaire et Aruba. Pour ma part je n’avais pas le niveau ni l’envie de plonger dans le noir. Trop neuf, trop impressionnant pour moi…

Mot du capitaine

Première plongée de nuit hors formation

« Une opportunité qui ne se rate pas », dixit un instructeur de plongée depuis 40 ans. C’est la plongée de nuit d’observation des Ostracodes !

Banco donc, même si normalement ce type de plongée nécessite un niveau 2 mon instructeur de plongée accepte de m’emmener. J’y vais sans isa, qui ne se sent pas pour une telle plongée.

Car cette plongée est très particulière : les 3eme et 4eme jours suivant chaque pleine lune il semble que de petits crustacés réalisent, 40 minutes après la tombée du jour, une sorte de danse nuptiale. Du moins c’est ce que pensent les rares scientifiques qui se sont penchés sur le sujet. Le phénomène n’a, à ce jour, été observé qu’aux iles de Bonnaire et Curacao. Personne ne sait si cela a lieu ailleurs.

 Il faut dire que le créneau est particulier : proximité de la pleine lune et horaire auquel, en général, on ne vas pas plonger (les plongées de nuit sont courantes mais en général on attends que la nuit tombe pleinement, afin d’observer la faune marine au repos). Mais je fais confiance aux plongeurs chevronnés que nous avons côtoyés ici pour aller observer, un peu partout dans le monde, si la chose se produit aussi…..

Étrange plongée, on arrive sur zone au tomber du jour, en annexe. Briefing bref et concis et nous voila à l’eau. L’idée est de descendre à environ 6m, de rester en statique, d’éteindre toutes les lumières, et d’observer… Le spectacle dure moins de 20 mn….

On se croirait chez Avatar : tout autour de nous de minuscules guirlandes de points lumineux montent et descendent, au gré des flots. Une dizaine de points lumineux par « guirlande », on ne distingue rien d’autre que des points lumineux, c’est féérique vraiment. Hélas nos plongeurs expérimentés n’ont pas encore solutionné la possibilité de prendre une photo….

On reste donc ainsi le temps que les lumières disparaissent, avant de faire une plongée nocturne classique. Une très belle expérience, et pas mal comme première plongée à inscrire sur mon carnet !


Les jours filent entre ravitaillement, visite des ship et magasins de bricolage et… bricolage.

Nous découvrons également les environs immédiats de Spanish Water, le seul mouillage principal et gratuit de l’ile où nous sommes installés. La passe d’entrée peut être délicate, surtout de nuit, et ensuite défilent, hôtel de luxe, son golfe, ses plages plus ou moins privées, des maisons de luxe et ouverture sur une grande baie partagée entre différents mouillages, stations essence et yacht club inaccessible.

La passe d’entrée

Pas de magasins alimentaires à proximité. C’est le temple des catamarans de tourisme, des grosses vedettes et des jet ski qui passent à fond entre les voiliers au mouillage.


Une jolie randonnée nous mène sur les hauteurs de la baie et de la passe.

Il y a aussi un petit fort et quelques plages envahies le week-end par les locaux y pique niquant -et qui n’hésitent pas à nous proposer de partager brochettes et boissons avec eux-.

Une plage qui mérite le détour, permettant de voir en snorkeling une épave. Un bar insolite est installé tout à côté, sous la plate forme en travaux. Étonnant, il s’agit aussi d’un refuge pour chiens à adopter. Lorsque nous y revenons 6 mois après, ce refuge n’existe plus, le charme est rompu. C’est maintenant un bar comme les autres, à des prix bien moins attractifs !

Mais nous nous étions promis une journée à la capitale, Willemstad, avec ses maisons colorées, son pont de la Reina, coulissant à la demande, son joli fort rénové, et son ancien quartier esclavagiste, reconstitué en promenade avec ses bars, boutiques, musée et parc botanique.


Le centre historique de la capitale de Curaçao, Willemstad, est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Son architecture hollandaise, ses bâtiments aux couleurs pastel et aux façades richement décorées, en font un lieu atypique dans les Antilles. La ville est coupée en deux par une voie navigable et reliée par un pont flottant. De l’autre côté, dans le quartier de Punda, le fort Amsterdam construit en 1635 abrite aujourd’hui la résidence des gouverneurs. Ne manquez pas une balade sur les quais et la fameuse Handelskade, le lieu le plus photogénique de la ville !

En longeant la Handelskade, le visiteur parvient au marché flottant où des marchands vénézuéliens viennent en bateau proposer leurs produits. Des étals de poissons, de fruits, de légumes mais aussi des biscuits, des chocolats ou d’autres spécialités vénézuéliennes… avis aux gourmands !

Que serait Willemstad sans son pont flottant qui traverse la baie de Santa Anna et relie les deux principaux quartiers de Willemstad. Surnommé la « Swinging Old Lady », le pont Queen Emma fut construit en 1888. Soutenu par 16 bateaux pontons, son tablier peut se relever pour permettre le passage des navires. Celui-ci pivote au moins une vingtaine de fois par jour pour permettre aux bateaux d’accéder au seul port de Curaçao. Un spectacle à contempler depuis les quais sur une terrasse de café !

Nous y resterons le soir pour voir la ville de nuit, illuminée.

Et profiter de la brasserie, accolée à la jolie table du gouverneur. Ça fait tellement longtemps que nous n’avons pas eu de si bonnes bières, brassées sur place. Un bel ensemble et le soir ambiance toute particulière.

Une belle soirée avant notre départ pour Klein Curaçao où nous replongerons, puis
Blanquilla, avec sa navigation longue, et usante. Car autant venir de Blanquilla est un bonheur, autant partir de Curaçao pour Blanquilla est une gajeure.. 80 h de mer dure, contre vent et courants. Des bords carrés, ou comme a demandé si joliment Nath : « avez vous bien jardiné » ?
Mais blanquilla vaut toutes les difficultés. C’est tellement beau… à couper le souffle. Vous voulez en savoir plus, cliquez !


Second séjour à Curaçao avec Emma

Nous avons décidé de repasser par Curaçao avant notre départ vers Panama pour recevoir notre nièce, Emma, sur Maverick. Rendez-vous est donc pris avec elle le 15 mai 2025 pour 15 jours.

Nous sommes maintenant en terres connues et pouvons prévoir ce séjour dans les meilleures conditions, d’autant que la météo s’annonce plutôt belle.

Nous arrivons de Blanquilla, -dont vous retrouverez dans un prochain post les magnifiques derniers jours passés là-bas- en début de nuit, après une belle navigation, et posons notre ancre à Klein Curaçao. On peut s’y installer de nuit, surtout par pleine lune, d’autant qu’une arrivée à Spanish Water, où le chenal d’entrée n’est pas éclairé et très mal pavé est inenvisageable. Belle navigation tout au portant donc plutôt confortable. Un bon vent tout du long. Et aucune rencontre, ni pêcheurs ni cargos. Toujours seuls ! 

Quel lieu magique. Nous y resterons 2 jours pour profiter de ces eaux claires avant de rejoindre le mouillage de Spanish Water, le seul possible et gratuit sans autorisation à Curaçao.

Nous y retrouvons Karen et Jean-Marc, les plongeurs passionnés et adorables, amis de Nathalie et Thierry, que nous avions croiser en novembre dernier. Et c’est pour notre plus grand plaisir qu’ils acceptent de nous emmener à la session des « ostracodes » du mois de mai puisque nous arrivons juste après la pleine lune. Cette fois-ci j’en suis !

Le mot de la « seconde » – Le monde merveilleux des ostracodes

Une plongée inoubliable, extraordinaire. Nous ne remercierons jamais assez Jean Marc et Karen pour ces moments de pur bonheur. Imaginez-vous immergés dans l’univers du film Avatar. Impossible de filmer. Mais pour quelles raisons me direz vous ?
Les voici.
Les ostracodes ne s’observent que les 3eme ou 4eme jours après la pleine lune, à une heure très particulière, moins de trente minutes. Et surtout dans le noir absolu afin de les découvrir sous nos yeux émerveillés.
Jean Marc nous explique, lors du briefing, que ce phénomène si peu connu a été découvert par hasard à Curaçao, Bonnaire et, au Belize et Honduras. Et uniquement sur ces 4 lieux au monde. La particularité à Curaçao est que ces filaments de « lucioles lumineuses » s’élèvent mais aussi s’abaissent. Ce qui n’est pas forcément le cas ailleurs. Il s’agirait de petits organismes effectuant leur danse d’amour, sous forme de milliers de points bio luminescents.
Ce phénomène reste toutefois une énigme de la nature. Trop de frais de matériels pour des chercheurs, pour si peu de retombées.
Il ne nous reste qu’à observer, rester stoïques, se déplacer avec légèreté et surtout sans lumière.
Instant magique qui s’interrompt au bout d’une vingtaine de minutes d’observation.
A cet instant, Jean Marc allume sa lampe UV. Et là, le monde magique des profondeurs de la nuit s’anime devant nous. De minuscules crevettes mauves, translucides, apparaissent. Le plancton s’illumine grâce à nos mouvements des doigts et main. Et les poissons, surpris, nous regardent et s’éloignent.
Mais il nous faut bien remonter, même si la profondeur est moindre, entre 5 et 10 mètres.
Retour sur notre Maverick, les étoiles plein les yeux.
Ce fut une expérience unique : ma première plongée de nuit, ce phénomène que nous ne retrouverons nulle part ailleurs, et un partage d’intense bonheur avec Jean Marc que nous tenions par l’épaule pour plus de stabilité.


Après cette plongée inoubliable, direction Klein Curaçao, pour faire découvrir ce lieu enchanteur à Emma.

Nous nous installons à « notre » place, assez loin des charters, nombreux, qui viennent à la journée.

Car l’île est inhabitée. Il s’agit d’un bout de caillou, battu par les vents et les flots, surtout côté nord. En nous y promenant, nous découvrons le phare, toujours en fonction, bien que paraissant abandonné.

Et les bateaux échoués, dont le pétrolier Maria Bianca Guidesman, un grand cargo utilisé pour le transport maritime de marchandises. Long de 260 mètres et transportant plus de 40 000 tonnes, il avait quitté dans les année 1980, un port d’Amérique du Sud à destination de l’Europe. Le malheureux incident s’est produit lorsque le navire a heurté un récif alors qu’il naviguait autour de l’île. Son aspect a bien changé. En effet, l’épave est déjà très rouillée et devient de moins en moins visible (video).

Mais surtout ici, ce sont les plages de sable blanc -pourtant prévues pour les touristes-, où les tortues se reproduisent !

Et toujours ces lumières… de jour…

Et de nuit, lorsque le ciel s’embrase.

Ici, à Klein, les nuages passent et ne s’arrêtent pas. Il s’accrochent sur l’ile principale. Nous n’aurons pas une goute de pluie alors que les averses et le temps gris stagnent sur Curaçao.

Mais au-delà de cette splendeur lumineuse, il y a les fonds et l’eau si claire ! On vous emmène ?

Rencontre avec les tortues …

Et cette splendide raie ! (cliquez).

Et, évidemment, le capitaine ne peut résister à pêcher…

Délicieux tous ces poissons, en rillettes, en ceviche, grillés… Toute les recettes sont succulentes.

Mais Emma est en vacances, et nous ne pouvons pas rester sur cette ile déserte, sans aucune rencontre ou sans faire de tourisme, même si, sur le trampoline, à l’abri, la vie est douce !

Retour à Spanish Water pour retrouver les copains.

Et visiter les terres de Curaçao ! A nous la capitale by night !


Les derniers jours approchent. Nous nous octroyons une « journée filles » à la capitale pour s’y promener, découvrir le fort,

les rues décorées,

Les chichis, étonnantes créations de l’ile, traduction littérale de la culture locale de Curaçao. Mais que signifient-elles ?

Il est important de savoir que dans la culture latino-américaine et caribéenne, des surnoms sont souvent donnés aux personnes, selon leur fonction au sein de la famille. À Curaçao, la sœur aînée de la famille était autrefois appelée « Chichi ». La poupée Chichi® de Curaçao représente cette sœur aînée, une femme caribéenne forte, fière et voluptueuse. Cette sculpture artisanale témoigne à la fois du dynamisme et du pouvoir de la sœur aînée sur la famille. Elle témoigne également de son ouverture d’esprit et de sa générosité. C’est elle qui soutient la mère, prend soin des petits et assume de nombreuses responsabilités, en complément des parents.

Et bien évidemment, visiter le village de Kurá Hulanda, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, lieu de mémoire, où les visiteurs peuvent découvrir l’histoire de l’esclavage à Curaçao et profiter du charme de l’architecture coloniale néerlandaise. Les allées pavées serpentent à travers les bâtiments caribéens de l’époque coloniale néerlandaise des XVIIIe et XIXe siècles, soigneusement conservés, autour de plusieurs cours intérieures magnifiques. Son nom vient du papiamento, langue maternelle de Curaçao, et signifie « cour intérieure néerlandaise ».

Avec son jardin plein de charme, ses sculptures si expressives, ses boutiques. Un incontournable de Willemstad !

Nous terminerons notre journée à la brasserie, notre point de rendez-vous avec le capitaine. On ne s’en lasse pas. Les amis du catamaran Maeva, Greg, Maria-Isabel et les garçons, nous ont rejoint à cette occasion. Que du bonheur !

Nous terminerons dans une délicieuse pizzeria, que nous vous recommandons tout particulièrement, Viva E Pasta, qui se trouve tout juste derrière la brasserie et la Table du Gouverneur, autre restaurant fort apprécié.


Dernière petite soirée avec Emma,

Puis dernière soirée avant longtemps avec Greg, Maria-Isabel, Jean-Marc et Karen.

Car le départ vers la Colombie se profile. Et dès que la météo, que nous suivons de très près, est favorable, il faut y aller ! Et c’est le cas.

Au-revoir Curaçao, au-revoir les amis. On se retrouvera, c’est sûr.

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